Si vous n’intégrez pas dans votre réflexion les 6 milliards d’être humains présents, les milliards qui sont morts et la quantité incommensurable à venir, non plus que les quantité proprement innombrables d’espèces vivantes qui peuplent l’ensemble de tous les Univers, votre réflexion est forcément partiale.
A partir de là comment ne pas s’indigner devant ce foutoir, ce qui est dit ici et là, et ce sourire béat insupportable qui fleurit à la surface de celui qui a cru réussir ce qui n’est absolument rien du tout ?
Je ne vois vraiment pas.
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